GLENFIDDICH STEELER

Une création de PHILIPPE DI MEO

C’est un GLENFIDDICH 12 ans…

Dans un magnifique coffret, rare

Glenfiddich s’est associé́ au designer Philippe Di Méo qui a imaginé́ une toute nouvelle faç̧on de dé́guster un Glenfiddich 12 ans d’âge : le Glenfiddich Steeler.


Philippe Di Méo a créé un objet ré́alisé́ par l’Orfè̀vrerie d’Anjou qui renferme des zestes de citron jaune ou de pamplemousse rose fraîchement pré́levé́s.

Cet objet est en inox fuselé, soigneusement gravé et guilloché

Comment procéder ?

Plongez le steeler dans votre verre de whisky, lentement et tournez-le dans votre Glenfiddich 12 ans d’âge.

Les zestes renfermés soulignent alors les notes d’agrumes contenus dans ce Single Malt. Après avoir traversé la partie évidée du Glenfiddich Steeler, les arômes du Single Malt explosent en bouche.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Quest-ce que vous savez du Rhum ?

Ca vient d’où le rhum ?

Le rhum est produit à partir de la canne à sucre. Originaire d’Asie, la canne à sucre a été  introduite aux Amériques par les Espagnols en 1493 lors du second voyage de Christophe Colomb.

L’invention du processus de distillation de la canne et par là même du Rhum, est prêtée au Père Labat un missionnaire dominicain français aux Antilles pour créer un remède aux fièvres.

Ses prétendues vertus médicinales en firent un composant obligatoire des rations à bord des navires de l’époque. Il fut donc d’abord réservé aux Noirs, aux boucaniers et autres écumeurs des mers du Nouveau Monde, Le Rhum a aussi été utilisé sur les côtes d’Afrique comme monnaie d’échange dans la traite des esclaves.

De nos jours, le Rhum est un des spiritueux le plus consommé dans le monde.

Oui mais c’est quoi exactement ?

Le Rhum est un spiritueux issu de la canne à sucre, produit par fermentation puis distillation. Il est consommé blanc ou vieilli en fût (Rhum vieux). Il existe deux catégories de Rhums traditionnels :

Les Rhums agricoles

Un rhum agricole est un rhum qui provient de la distillation directe du jus naturel (le vesou) résultant du broyage (réalisé au plus tard 36 heures après la coupe) des cannes et de la transformation de son sucre en alcool.

Le vesou, soigneusement filtré est placé dans des cuves à fermentation pendant 36 à 48 heures…et le liquide… se transforme en Rhum.

1 tonne de canne à sucre donne environ 100 litres de Rhum Agricole à 55°.

Cinq catégories de rhums agricoles:

Le Rhum blanc: C’est un rhum non vieilli. Le degré alcoolique est réduit à l’eau distillée ou a l’eau de source.

Le Rhum paille : C’est un rhum qui a vieilli en fûts de chêne pendant 12 à 18 mois.

Le Rhum vieux : C’est un rhum blanc qui a vieilli en fûts de chêne pendant trois ans au minimum.

Le Rhum ambré: C’est un assemblage de rhum paille et de rhum vieux. Il a la force du rhum paille et les saveurs du rhum vieux..

Le Rhum arangé : C’est une macération de fruits et d’épices dans le rhum.

Les Rhums Industriels

Le rhum industriel provient de la distillation de la mélasse qui est un résidu de sucrerie. La mélasse fermente avec des levures. Après distillation, l’alcool titre 65 à 75 % volumique. La législation interdisant plus de 65° pour la commercialisation des rhums, on y remédie en ajoutant de l’eau distillée.

Deux catégories de rhums industriels:

Le Rhum jeune traditionnel : C’est un rhum ordinaire titrant 40°.

Le Rhum grand arôme : C’est un rhum aromatisé, issu d’un mélange de mélasse et de vinasse dans des cuves. C’est un rhum de pâtisserie…et pas des meilleures.

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CHATEAU DE BEL….et des meilleurs!

Olivier Cazenave,

C’est le propriétaire de ce domaine.

J’avais aimé le 2003 et le 2004 mais je ne connais pas la suite…

A première vu, la robe n’est pas particulièrement attractive.

Le nez est faible et légèrement réduit…

En bouche, la première impression n’est pas bonne. C’est maigre, dilué, sans saveur, avec un goût de carton.

Ce n’est vraiment pas bon !

 

 

Essayons la taille au dessus !

Château Les Hautes Graves 2007

Montagne Saint-Emilion.

La robe est belle, rouge rubis.

Le nez est épicé, sur les fruits noirs.

La bouche est un peu métallique, sèche et manque de fruit. La persistance est très insuffisante. Je pense que l’acidité de ce vin n’est pas en relation avec sa structure.

…et la finale est sur l’amertume.

Et le 2008 ?

La robe est beaucoup plus belle, plus profonde et plus colorée.

Le nez est fruité.

La bouche est assez agressive. Les tanins sont rudes et les fruits sont dominés par l’acidité. Je ne trouve pas ce vin cohérent. C’est nettement mieux que le 2007, mais bon!

 

 

Il me reste deux cartouches.

Château de Bel 2007, cuvée La Capitane

La robe est rouge rubis.

Le nez est toujours un peu métallique.

La bouche a une acidité présente…trop… et des tanins asséchants. Manque de corps.

 

 

lE DERNIER !

« Aux Plantes » 2008, Saint-Emilion Grand Cru

Jolie robe rouge rubis.

Nez sur les fruits noirs et un léger boisé.

Le vin est…étonnement… agréable. Les tanins sont fins, le fruit est discret mais présent. De légères notes d’élevage et une persistance aromatique convenable.

Et en plus, la présentation est très bien.

Comme quoi, il ne faut jamais renoncer…

 

 

 

 

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Opale, le diamant du beaujolais

Oh là là !

J’invite tous ceux qui n’aiment pas le beaujolais à goûter…Opale 2005.

La robe est incroyable pour un beaujolais. Dense, rouge sombre.

Le nez est à la fois en puissance et en délicatesse. Les fruits noirs et les épices m’impressionnent.

La bouche est tout d’abord très fraiche, les tanins sont soyeux. Il y a une très belle acidité et le fruit et les épices se mêlent à souhait.

En finale, les saveurs tertiaires arrivent…et toujours une belle acidité.

Vraiment bluffant ce beaujolais.

Opale 2005 fait parti des vins du Beaujolais qui feront qu’un jour prochain, l’immense potentiel de ce terroir, sera reconnu.

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Si vous étiez un vin, Mr Jeff Carrel ?

Ce serait Puydeval…

Eh oui, Puydeval, le fameux Puydeval rouge, est LE vin de Jeff Carrel.

C’est pourquoi lorsqu’il m’a fait parvenir la semaine dernière quelques flacons, je ne me suis pas précipité pour déguster ce nouveau millésime. J’attendais le moment opportun.

C’est ce soir.

La bouteille tout d’abord, bien qu’à priori identique à l’ancienne, ne l’est pas. Son aspect est moins lisse mais c’est surtout sa teinte qui est très belle. La capsule est pas mal et la qualité du papier de l’étiquette est belle.

Dès que je commence à me servir je comprends que là, il y a du vin…

La robe est intense, rouge grenat. Ce vin ne doit pas avoir été beaucoup filtré.

Le nez exprime des arômes de fruits noirs.

La bouche est généreuse, beaucoup de fruits noirs et de cerises noires. Une pointe de cannelle…

C’est le niveau au dessus de 2008.

Les tanins sont soyeux, il y a une belle fraicheur, une bonne persistance et surtout une impression de velouté en bouche, avec toujours cette Carrel touch qui rappelle la gourmandise.

Vraiment, à ce prix, c’est une très bonne affaire.

Sans aucun doute, 2009 est le plus beau millésime de Puydeval.

 

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Il y a de plus en plus d’anges au pays d’Oc…

Et ce malicieux Jeff Carrel y est pour beaucoup

Villa des anges merlot 2010

robe rouge sombre

nez de fruits noirs, myrtille

bouche veloutée, sur les fruits noirs, avec des notes de poivre.

Ce n’est pas un vin dont je vais parler longtemps, car il n’y a pas grand chose à dire si ce n’est qu’il conforme à ce qu’on lui demandait…c’est une commande d’un importateur américain !

Un peu de raisin, un peu de terroir…un tout petit peu alors…, un peu de technique et peut-être même un peu de poudre magique.

Cela dit, ce vin agrémentera parfaitement vos repas quotidiens. Buvez sans crainte, c’est breveté JC.

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Jeff Carrel, Eclectic Winemaker

Intrusion en terre ibérique.

PAHI-POBOLEDA      GAUBANCA 2010 rosé.

Bien que la robe soit d’un rose soutenu, elle l’est peu pour un rosé de Priorat.

Le nez ne présente pas d’intérêt particulier.

Par contre, en bouche c’est un vin agréable, mêlant des notes de menthe poivrée à la fraise. Bonne persistance aromatique et belle fraîcheur pour ce vin qui saura agréablement accompagner des grillades.

 

 

C’est le premier vin rosé espagnol de Jeff Carrel

Et ce ne sera pas le dernier.

Quoi qu’il en soit, je suis le premier à vous le proposer…et je ne serais pas le dernier

 

 

 

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Des convictions au service de la vigne…

Voilà un an que je n’avais pas rencontré Christophe Hernandez. C’est chose faite!

Je l’ai trouvé très sur de lui et de son travail. Et ce n’est pas négatif dans ma bouche. J’espère que ses vins vont me plaire car j’aime bien son franc parlé et son approche du vin.

Carinena 2009

Le petit vin sympa, le vin de tous les jours, 100% cépage carignan.

Le vin est fruité, caractéristique du cépage et goulayant. Il n’y a pas grand chose d’autre à dire de ce vin. Ah si! Le bouchon en plastique dure c’est nul et difficile à déboucher…et impossible à reboucher…

 

Merlot-Marselan 2010

Super, toujours le bouchon en plastique dur…

La robe de ce vin de pays d’Oc rosé est rose aux reflets violacés. C’est bien, c’est ce que j’attendais de lui.

Comme pour la plupart des rosés, le nez n’est pas particulièrement expressif. Mais ce n’est pas grave.

La bouche est ronde, très aromatique (fraise et agrumes) avec beaucoup d’acidité.

C’est un joli rosé de « campagne ». C’est à dire qu’on imagine le boire à la campagne, autour d’une grande table dressée sur la pelouse, avec beaucoup d’amis…Ce n’est pas du tout un rosé « parisien »…vous savez les rosés très très pâles, avec un goût de blanc et surtout pas de rosé…

Minervois 2008

Miracle…un bouchon en liège !

Désolé. Fausse piste. Juste de l’aggloméré, et entrée de gamme…

La robe est rouge violacé et le nez exprime des notes de fruits noirs.

La bouche est dense. Tout de suite je suis frappé par les jolis tanins de ce vin. Beaucoup d’épices et de baies sauvages noires me séduisent. Il y a de fortes notes de garrigue dans ce vin. On s’imagine presque en vacance, à table, face à un gigot d’agneau, ou à des charcuteries corses !

Un détail: Pour ceux qui ne veulent que des vins Bio, c’est raté.  Christophe Hernandez est un vigneron qui pratique l’agriculture biologique. Mais voilà, le label il s’en fout ! Il n’a rien à prouver. Et si on ne le croit pas…tant pis…pour vous.

 

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Le blend whisky le plus rare au monde

Si vous deviez boire pour la dernière fois un whisky…

Ce serait LAST DROP

Créé par trois légendes du monde des spiritueux, LAST DROP est réalisé à partir de différents whisky, le plus jeune ayant été distillé en 1960.

Une fois l’âge de 12 ans atteint, les whisky sont assemblés et transvasés en fûts de sherry dans lesquels il vont vieillir 36 ans.

Seulement 1.347 bouteilles…pour le Monde.

Le nez est puissant et équilibré. Riches notes de Xérès, de caramel et de pain toasté.

Ensuite apparaissent la prune, le pruneau et les fruits séchés, suivis par le chocolat noir et le caramel.

Bouche riche, de texture veloutée. Dominent une sécheresse élégante et un léger boisé, puis reculent au profit du Xérès. La prune, la crème caramel se laissent sentir dans un ensemble aromatique très fondu. Le chocolat noir et le biscuit sec arrivent sur la fin.

Finale riche, avec des fruits secs, du pain toasté, des notes de Xérès, de confiture de cerises, se développant sur le boisé et le toasté.

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Jean-Claude Rateau new style

Qu’est-ce qu’il lui arrive à Jean-Claude Rateau ?

Qu’est-ce que c’est que ce vin moelleux ? Une barrique qui a mal tournée ou une envie bizarre ?

D’abord, Il faut vraiment l’aérer car sinon la minéralité agresse en finale.

Robe jaune pâle aux reflets vert. Très belle acidité et toujours beaucoup de minéralité. Rond, moelleux, notes de fleurs blanches.

Etiquette marketing, bouteille bordelaise.

Qui l’eut cru ?

C’est le nom de ce vin. Un vin sympa, agréable, mais qui me laisse perplexe quant à son positionnement. A quoi sert-il ? Ou est sa véritable place ? A qui le proposer ? Je ne sais pas.

Je verrais Jean-Claude Rateau la semaine prochaine, il me donnera une explication.

 

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