Nez de fraise très mûre.
Bouche de fruits rouges avec des épices et un léger mentholé.
Nez de fraise très mûre.
Bouche de fruits rouges avec des épices et un léger mentholé.
La robe est rouge carmin, dense. Visiblement le vin est peu filtré.
Le nez est expressif. Fruits noirs (mûre, myrtilles).
Très belle acidité en bouche de petites baies. Le vin est bien soutenu par le gaz carbonique.
Les tanins sont encore un peu durs, mais pas dérangents. Beaucoup de fruit et une belle fraîcheur.
La persistance arômatique est bonne.
Ce vin est digne du précédent. Nous sommes dans le même univers de gourmandise, de vin très naturel de copains. Bien qu’avec beaucoup de personnalité, il est d’une approche aisée.
Je vous le recommande , cette année encore.
http://www.cavesduroy.fr/catalogue/Minervois/Domaine-Benjamin-Taillandier-Laguzelle-2008.html
La robe est jaune dorée aux reflets de miel.
Le nez de fruits jaunes est nerveux et épicé.
La bouche est riche et a une belle acidité. Les épices et les fruits jaunes compôtés dominent (abricot sec).
Contrairement à ce qu’indique la contre étiquette, j’imagine mal ce vin "accompagner des poissons frais ou fumés".
On attend de ce type de vin une émotion qui vous porte à la rêverie…..et je ne rêve pas.

Nez de fruits rouges (framboise, cerise) et de violette.
Bouche très fruitée sur la cerise et le cassis. Une petite sucrosité.
Le vin est immédiat, simple et amusant. A boire à 15°.
Un vin de copain, mais pas un vin de soif car la sucrosité est trop présente.

Nez pâtissier, manque de fraîcheur.
En bouche, la bulle est agressive. Fruits jaunes.
Finale sur l’acidité.
Ce champagne manque d’élégance.
http://www.champagne-pascal-lejeune.fr/
Je commence par découvrir les fameuses Vieilles Vignes, plantées avant l’invasion du phylloxéra qui sévit en champagne à la fin du 19° Siècle.
Je me rends ensuite dans la salle de dégorgement, la chaine de production est impressionnante,d’une haute technicité.
Cela se confirme lors de la dégustation, assez attendue après cette belle mise en bouche.
Le comté affiné s’accompagne d’un R.D. 1997 dégorgé en septembre 2008. Très faiblement dosé ce vin conjugue une extraordinaire fraîcheur et une expression d’arômes secondaires et tertiaires. Somptueux arômes de fruits secs, de noisette pour ce très grand vin. Après aération le champagne révèle ce que le terroir et le temps peuvent offrir de meilleur.
Nous dégustons pour terminer le Bollinger Rosé, servi en accompagnement d’une nage de fruits jaunes. Sans doute aurais je mieux apprécié ce champagne en apéritif, il me parait manquer de fraicheur pour terminer ce festin.
Je repars ravie de cette journée. Partager ce moment convivial et instructif fut un grand plaisir. Je remercie les collaborateurs de cette belle maison qui m’ont superbement reçue et espère avoir su communiquer une partie de la magie distillée par les champagnes Bollinger !
Camille Naud
http://www.cavesduroy.fr/catalogue/Champagnes/Bollinger-R-D-1997.html
Nez de fruits noirs avec de la sucrosité.
Bouche de fruits noirs.Dominée par le bois.
Ce vin n’es pas à boire pour le moment. L’étiquette n’est pas claire.
A redéguster.
Nez puissant sur la fraise très mûre et les épices.
Bouche ronde sur la fraise. Bonne acidité. Finale persistante.
Ce vin manque d’élégance.
Nez légèrement fermentaire. Pas de fruit.
Bouche molle, sans attaque franche. Manque de fruit. Légère amerthume en finale.
Nul !
Robe rosé saumon
Nez de papier, absence de fruits.
Bouche manquant d’attaque et d’acidité. Du gras; Pas de fruits.
Nul !