Juste une petite vidéo très qualitative.
C’est bref, clair, net et précis
A l’origine, l’absence de ventilation dans les fours de séchage du malt retenait la fumée de tourbe, expliquant ainsi le caractère très tourbé de son single malt. Ses single malts sont tendus, brutaux mais élégants.
La nouvelle édition limitée de l’année 2011 de la gamme Ardbeg se nomme Alligator. Ce nom vient de la méthode particulière de traitement des fûts dans lequel il a été en partie vieilli.
Charred Alligator est un terme utilisé dans les industries de whisky du Bourbon et du Scotch pour décrire la méthode de carbonisation (ou brûlure) à l’intérieur du fût de chêne avant d’être rempli du spiritueux. C’est alors que le bois brûlé prend l’apparence d’une peau d’ alligator d’où le nom de notre toute nouvelle édition.
En réalité un assemblage de deux batches d’Ardbeg: un premier vieillie en fûts de chêne neuf américain brûlé à l’intérieur selon la méthode « alligator » (et qui donnent des arômes intenses de bacon grillé), et un deuxième vieilli en anciens fûts de bourbon (qui contribuent des notes de crème vanillée aux arômes fumées et tourbées). Le résultat est un spectre spectaculaire d’arômes fumés ainsi que des saveurs de barbecue qui intensifient le côté tourbé et herbacé, symboles de la gamme Ardbeg.
La robe est jaune doré.
Le nez évoque la tourbe, le poisson séché et la sauce barbecue.
La bouche est gourmande, épicéeet fumée. Notes de tourbe, de chocolat et de gingembre.
La finale est persistante sur la tourbe et la fumée.
J’ai connu Jean-Pierre Secondé en 1996 et il a toujours été fidèle et honnête. Je le considère comme un des meilleurs vignerons de Champagne. Et ses vins, à eux seuls, par le succès qu’ils connaissent auprès des amateurs comme des néophytes, prouvent qu’il est un bon vigneron.
C’est un garçon bien, intelligent, honnête, travailleur et…talentueux.
Alors j’ai organisé une journée chez Jean-Pierre avec Geoffroy.
Geoffroy n’avait jamais été reçu par un vigneron…hormis un copain…et cela se devait d’être exceptionnel. C’est pourquoi j’ai voulu que le moment soit inoubliable.
J’ai demandé à Jean-Pierre et à Annabelle, sa fille d’organiser un pic-nique dans leurs vignes. Geoffroy sera invité par les plus grandes maisons de champagne, tout au long de sa carrière, mais il ne sera jamais plus jamais convié à un pic-nique dans les vignes.
Il ne le sait pas mais moi…je le sais.
Nous avons vraiment partagé un moment privilégié autour de cette table. Les mets et les vins avaient été soigneusement choisis pas Jocelyne et Annabelle Secondé.
Et le dessert, c’est François, le bras droit de Geoffroy qui l’avait réalisé. Bref, un excellent déjeuner et un moment inoubliable que j’ai apprécié à sa juste valeur.
Alors on est parti pour une visite des vignes de Jean-pierre Secondé, et toutes les explications habituelles
Ensuite, Geoffroy découvre la nouvelle cuverie des Champagnes J.P Secondé.
Le tout est climatisé, comme il convient.
Le tout sous le regard protecteur de Jean-Pierre Secondé
Nous avons été accueilli de la meilleure façon par le clan SECONDE qui, je le sais, se réjouissait tout autant que nous de faire découvrir à Geoffroy et François leur métier et leur passion.
Grâce à leurs talent, Geoffroy et François seront convié dans de prestigieuses et célèbres Maisons de Champagne, mais ce qu’ils ont vécu ce jour ne se reproduira pas de si tôt…en Champagne…
Merci Jean-Pierre, merci Annabelle et Jocelyne pour votre amitié et votre gentillesse.
Master Blender de la maison Whyte & Mackay, Richard Paterson est parvenu à recréer le Mackinlay Shackleton, whisky pris dans les glaces pendant un siècle et retrouvé en Antarctique en 2006, dans la cabane de l’explorateur Sir Ernest Shackleton.
En effet, trois caisses de whisky Mackinlay furent découvertes au pôle sud, dans la cabane du célèbre explorateur Sir Ernest Shackleton, grand explorateur anglo-irandais du début du XXe siècle, considéré comme l’une des figures majeures de l’âge héroïque de l’exploration en Antarctique.
Une caisse fut extraite avec difficulté de la glace et décongelée avec précaution au Musée Canterbury à Christchurch – une île du sud de la Nouvelle Zélande, afin de préserver au mieux ces précieuses bouteilles de whisky.
La caisse contenait onze bouteilles de Scotch Whisky Mackinlay datant de 1896/1897 enveloppées de papier et de paille, que Ernest Shackleton avait amené avec lui lors de son voyage Nimrod en 1907.
L’Antarctic Heritage Trust, une organisation établie en Nouvelle Zélande pour promouvoir et protéger l’héritage historique et biologique de l’Antarctique a confié trois bouteilles à la société détentrice de la marque de whisky Mackinlay. Elles ont été expédiées par avion privé depuis la Nouvelle-Zélande vers Glasgow en Ecosse.
Les trois bouteilles échantillons ont été confiés à Richard Paterson qui pendant près de huit semaines durant en exerçant son art deMaster Blender a recherché à créer une réplique exacte du whisky centenaire de Mackinlay.
A l’issu de son travail, Richard Paterson a déclaré: « C’était un véritable privilège de pouvoir manipuler, sentir et goûter un whisky aussi rare et bon. La qualité, la pureté et le goût de ce whisky vieux de 100 ans étaient stupéfiants. La plus grande surprise a été le parfum léger et la couleur claire, presque vive, du whisky. J’espère que cette réplique aurait rendu fiers nos ancêtres et Ernest Shackleton. »
Au-delà de reproduire à l’authentique le whisky, la bouteille, l’étiquette, son bouchon ainsi que le coffret bois furent reproduit à l’identique.
Le whisky Mackinlay Shackleton contient du whisky issu d’une large variété de malts des Highlands, y compris de Glen Mhor, qui était la distillerie d’origine de Mackinlay, avant de fermer en 1983.
Ce whisky a une robe or paille, avec des reflets miroitants. Son nez est doux, élégant et raffiné, avec de délicats arômes de poire, de pomme écrasée et d’ananas frais. Il contient un pincée de marmelade, de cannelle et un soupçon de fumée, de gingembre et de sucre muscovado.
Son embouteillage à 47,3° serait, paraît-il, pour empêcher l’alcool de geler, crée un impact puissant en bouche, tout en donnant une sensation de légèreté et de chaleur.
Ses soupçons de fumée de feu délicate laissent lentement la place à des saveurs riches et épicées de noix de pécan, de mélasse et de caramel.
5 % de chaque vente sera reversé à « l’Antarctic Heritage Trust » à l’origine de la découverte et du sauvetage du whisky Mackinlay.
Alors n’hésitez pas plus longtemps pour vivre une expérience unique !
Voici de biens jolis sacs qui peuvent facilement recevoir six bouteilles de vin.
En toile de récupération, ils sont grands et solides
Les poignées sont en cuir de la couleur de la doublure, ou dans le même tissus.
Félicitation au Potager des fées.
Cette année encore, je déguste les vins d’Arnaud Debord. L’année dernière, ni le chardonnay ni le pinot noir ne m’avaient plu.
Ce millésime 2008 a une robe d’un beau rouge, très légèrement tuilé.
Le nez est très beau. Ca « pinotte » à merveille. je suis assez étonné, compte tenu du millésime et de l’expérience que j’ai des vins d’Arnaud. Mais agréablement surpris.
Malheureusement, la bouche ne reflète absolument pas ce que l’on imaginait en sentant ce vin. Il y a du fruit serte et le vin est relativement frais mais les tanins sont terribles. ils sont dures, voir rustiques. De plus, le finale est sur l’amertume. Il y a certainement un problème d’élevage !
Alors là, c’est encore une fois étonnant. la robe est jaune pâle aux reflets verdâtres.
Le nez est très minéral, sur des notes d’agrumes et de fruits à chair blanche.
La bouche est fraiche, minérale, avec une belle acidité. Une rondeur délicate sur l’acacia et le romarin.
La persistance est bonne.
C’est un chardonnay atypique, original et très sympa !
Beaucoup plus d’acidité que le millésime précédent. Mais bien meilleur je pense. Mylène a progressé. Elle a mis a profit l’expérience acquise l’an dernier.
C’est un vin puissant, rond, frais et gourmand. Des notes pâtissières et d’épices douces.
C’est le deuxième millésime que je déguste. Mylène Bru s’est installée en 2008 sur 4 hectares d’anciennes garrigues. Et sa propriété est constituée de 12 parcelles et d’une treizième de carignan, en fermage. Située à Sète, elle s’est tout de suite, et naturellement, orientée vers l’agriculture biologique.
Les parcelles sont en plein milieu de la garrigue et les rendements sont très faible (environ 15 hecto/hectares).
Le vin est vinifié sans ajout de SO2, et avec 2 gr/hecto à la mise.
Aujourd’hui, elle va certainement abandonner le tracteur au profit du cheval. Mais elle est également tentée par la biodynamie…je rappel que les raisins ne sont pas encore certifiée bio…Bref elle avance.
Malheureusement pour vous, elle me le présente quand elle n’en a plus ! C’est pas sympa.
La robe est plus pâle que le 2010.
Le nez est moins pâtissier. Des notes de pomme.
La bouche est moins fraiche, l’acidité est moins importante et la persistance moins bonne. Le vin est plus mince et la complexité moindre.
Bref, le 2009 n’est pas à la hauteur du 2010. Alors bien que je ne puisse pas avoir de 2010…puisque Mylène n’a pas pensé à moi quand elle en avait…je vais proposer le 2009 à son juste prix d’aujourd’hui. Et tant pis si je suis perdant…ce n’est pas grave.
Pour cette récolte seulement 4800 bouteilles.
La robe est rouge sombre, presque noire.
Nez de fruits noirs, cerises noires.
La bouche exprime des notes de fruits compotés et des épices douces. Les tanins sont soyeux. Le vin est équilibré et garde une bonne fraicheur. La persistance aromatique est bonne.
Pour cette cuvée, 6500 bouteilles.
Cette année, il y a un peu de carignan. Une parcelle qu’un voisin lui a laissé en fermage avec certainement une arrière pensée…
Deux parcelles, l’une en côte, complantée d’aubin, de 65 ans, qui donne de raisins bien juteux. Et l’autre près de la rivière, de 50 ans, avec plus de cailloux qu’en haut, qui donne des raisins de caractère. Et le tout entouré de garrigue. La garrigue, c’est le fil conducteur des vins de Mylène Bru. Avec ces herbes à l’odeur de thym et de camphre » qui poisse quand on la touche » fait partie intégrante de son terroir.
Alors c’est carignan, grenache, et syrah, cinsault.Le tout vinifié en grappes entières avec cuvaison de 3 semaines.
Le vin a beaucoup plus d’acidité et de fraicheur que Far-West 2008.
Robe rouge framboise mure, un peu trouble, c’est normal le vin n’est pas filtré. Mylène Bru ne filtre jamais ses vins. Les tanins sont poudreux.
Mylène Bru aime cette nature odorante qui entoure sa propriété. Et ce sont ses vignes dont elle est à l’écoute, qui lui indiquent la bonne maturité des raisins. Alors c’est le temps de la vendange.
Tout est fait en fonction de la nature et de ce que Mylène ressent.
Alors, c’est normal que ses vins soient très différents d’un millésime à l’autre !
J’ai été attiré par la qualité de la vitrine (et je sortais de chez virginie). Ca a l’air frais! me suis-je dit…alors je suis entré.
Tout était tentant et…sentait le frais
Je ne connais pas le nom de ce plat mais c’est bon.
Alors je me laisse tenter… et voilà !
C’est frais. Les asperges j’ai l’impression qu’elles viennent d’être cueillies.
Et les Saint Jacques aux champignons…
Chez Avecceuxci tout est fait maison et toujours avec des produits frais.
Même les desserts
Et le pain
Avecceuxci, ce n’est pas un traiteur comme les autres. Les plats ne ressemblent pas à des plats de « traiteurs ».
C’est mieux que la plupart du temps au restaurant et comme à la maison…mais en mieux.
C’est très qualitatif, très bon, mais la cerise sur le gâteau: C’est fait avec amour…
54 Rue Damrémont Paris 18e
75018 Paris
Tél. : 01 42 59 24 36
Courriel : contact@avecceuxci-traiteur.fr
Mais c’est tellement bon à LA TABLE D’EUGENE que la gourmandise n’est plus un défaut.
Et ce soir, Geoffroy Maillard m’a fait un cadeau: Son premier menu « carte blanche » de…onze plats…et les…onze vins…qui les accompagnent.
L’accueil est très sympathique…comme toujours..de la part de Catherine et de Hugo.
Je me sent bien à LA TABLE D’EUGENE, et je sent qu’on est heureux de m’y accueillir.
Geoffroy , derrière le bar, nous prépare un Americano en apéritif. Il me connait: Gran Classico et Dolin. Cà, c’est bon ! Et puis c’est un clin d’oeil.
Jurançon sec 2009, Clos Uroulat, cuvée Marie
Champagne Bollinger Spéciale Cuvée
Côteaux d’aix en provence blanc 2009, Château Revelette
Saint-joseph blanc 2009, Christophe Pichon
L’Etoile, chardonnay 2006 domaine de Montbourgeau
Le Mas De L’écriture, Emotion 2007
Trapet, Gevrey-Chambertin 1er cru, Clos prieur 1998
Stéphane Sérol, Le Turbulent rosé
Stéphane Sérol, Le Turbulent rosé
Madère Henriques Full Rich réserve